Marchands d’armes : trous de balles et poudre aux yeux

Crédit : youtube L’industrie de l’armement est un fleuron national. Mais cette industrie, dominée par un petit groupe d’entreprises, touche un secteur sensible : celui de la vente d’armes particulièrement réglementé. Comment ce marché parvient malgré tout à faire du business de la guerre un commerce presque comme les autres ? « Près de 6,8 milliards d’euros, voilà le joli total affiché en bas du carnet de commandes des entreprises françaises de l’armement en 2013. Soit une hausse de plus de 42% par rapport à 2012, notamment grâce à 8 contrats de plus de 200 millions d’euros chacun conclus dans le secteur aéronaval » : http://is.gd/B8TvPg « Avec pas moins de 74 pays-clients depuis 2010, la France est aujourd’hui le 5ieme exportateur mondial d’armement » : http://is.gd/B8TvPg Les diverses ventes à l’Inde et au Pakistan : http://is.gd/D4kUjk « les “frais commerciaux exceptionnels” qui peuvent atteindre 11% du montant des transactions ! En Arabie Saoudite, le contrat pour la rénovation de la flotte remporté par la compagnie française DCNS en 1994, a permis de verser plus de 46 millions d’euros au prince Sultan, près de 30 millions pour son frère Fahd et 41 millions aux autres princes » : http://is.gd/lRNsLr Les pays sous embargo : http://is.gd/mEGSrW « La France a ainsi pris la 2è place des exportations militaires vers la Chine. Elle totalise 100 millions d’euros de commande par an depuis 2009, juste derrière la Russie » : http://is.gd/ewomHB « Nicolas Sarkozy alors président, soucieux de la bonne santé commerciale du secteur, suggérait l’abandon des sanctions vis-à-vis de la Chine » : http://is.gd/K8VnoP « Aujourd’hui, l’Asie et le Moyen-Orient représentent plus de la moitié des commandes mondiales d’armement » : http://is.gd/B8TvPg

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