Magie des effets spéciaux à l’époque de Georges Méliès
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Sabine claque des doigts… et disparaît ; ou bien elle se dédouble, et parle avec elle-même. Jamy se fait attaquer par un terrible dinosaure… pas plus grand que la main ; ou bien il claque des doigts à son tour, et c’est Fred qui apparaît ! C’était l’époque de Georges Méliès, et des premiers effets spéciaux. C’est pas Sorcier revient sur l’histoire et l’évolution de ces tours de prestidigitation, depuis le bricolage ingénieux à base de peinture en trompe-l’œil, jusqu’aux techniques ultramodernes de la Planète des singes. Comment Georges Méliès faisait-il disparaître ses acteurs ? Et comment se servait-il des propriétés photochimiques de la pellicule pour dédoubler ses personnages ? Pour faire planer un vaisseau spatial dans un film de science-fiction, on a souvent recours au matte painting. C’est quoi exactement ? Comment se sert-on d’un fond bleu pour incruster les personnages dans un décor virtuel ? Et quand l’image est en mouvement, comment coordonne-t-on le déplacement de l’acteur et celui du paysage ?